De nombreux professionnels émérites considèrent aujourd’hui la cigarette électronique comme l’une des meilleures aides au sevrage nicotinique. Jugée moins nocive que le tabac, elle reste très plébiscitée par les fumeurs. Elle suscite également un véritable engouement chez les jeunes et une importante frange de la population. De réelles inquiétudes subsistent sur l’innocuité de l’e-cigarette en dépit de son indéniable succès. Découvrez si vous pouvez vapoter sans risque.
La cigarette électronique, « incontestablement nocive » selon l’OMS
L’agence onusienne l’a explicitement affirmé dans son rapport publié le 26 juillet 2019. Prise intrinsèquement, cette assertion paraît entièrement justifiée en dépit du tollé général qu’elle a suscité. Ne nous leurrons pas ! Vous ne pouvez pas remplir vos poumons de substances chimiques vaporisées des dizaines de fois par jour sans aucun impact sur votre santé ! Cela affectera sans aucun doute votre organisme. Tous les scientifiques le reconnaissent ! À l’étape actuelle, les recherches ne permettent pas encore de cerner véritablement les risques encourus par un vapoteur.
- Des études ont révélé que de nombreux e-liquides contiennent ou délivrent des substances potentiellement toxiques. Elles évoquent des métaux et des composés cancérigènes comme l’acroléine et le formaldéhyde. Des experts ont également démontré que la vape pouvait bouleverser le fonctionnement de certaines cellules. Mais, ils n’ont pas réussi à établir un lien formel entre ces altérations et le développement d’affections comme les cancers sur le long terme.
- Certains scientifiques pensent que cela pourrait augmenter le risque d’infarctus ou de thrombose. La vape pourrait donc représenter un vecteur de maladies cardiovasculaires selon des chercheurs de l’Université de Stanford. Un rapport publié dans l’Américan Journal of Pysiology affirme qu’elle pourrait causer une inflammation pulmonaire. Malheureusement, les méthodes exploitées ne permettent pas encore d’aboutir à des conclusions universelles. Enfin, l’utilisation prolongée des e-liquides de nicotine pourrait entrainer des symptômes de dépendance.
Ces différents éléments justifient certainement la prudence de l’OMS sur la cigarette électronique. L’agence onusienne a donc préféré alerter l’opinion publique. Cela sonne comme un avertissement adressé à la jeunesse et aux non-fumeurs. Ils doivent savoir que le vapotage pourrait nuire à leur santé sur le long terme. Ils devront aussi rester vigilants pour éviter toute dérive vers le tabagisme. À l’étape actuelle, clamer l’innocuité de l’e-cigarette relèverait donc de la pure propagande.
La cigarette électronique, une faible toxicité
Le plébiscite de l’e-cigarette s’explique surtout par ses composants peu dangereux sur l’organisme. L’Agence de santé publique anglaise considère que la cigarette électronique est 95 % moins nocive que le tabac. L’Académie nationale de Pharmacie le reconnaît également en France. Le fonctionnement de l’e-cigarette ne repose pas sur une combustion de la nicotine. Elle ne contient donc pas les 4000 substances toxiques et les 80 métaux cancérogènes qui se retrouvent dans la fumée des mégots classiques. Logiquement, les traditionnels symptômes de pathologies respiratoires ne s’observent pas chez les vapoteurs. Ils n’ont pas l’air de suffoquer au moindre effort physique. En parlant du tabac et de la cigarette électronique, le professeur Gérard de l’Académie nationale de médecine a confessé ceci : « si vous voulez comparer les deux en termes de dangerosité, c’est comparer le pistolet à bouchon avec un canon de marine ». L’OMS a d’ailleurs reconnu dans son rapport que la cigarette électronique est moins nocive que le tabac comme l’a relevé le professeur Bertrand Dautzenberg dans son tweet sur cette actualité. De plus, les gens se plaignent bien plus du tabagisme passif que du vapotage ambiant.
Contrairement au mégot classique, la cigarette électronique n’affecte donc pas la santé sur le court terme. Toutefois, les autorités publiques doivent prendre toutes les dispositions pour que les distributeurs commercialisent exclusivement des produits de qualité. Ces derniers doivent s’approvisionner auprès de fournisseurs réputés sérieux comme ADNS grossiste en cigarette électronique. Cette plateforme propose une large gamme d’articles authentiques et originaux qui répondent aux normes en vigueur dans l’Union européenne. Elle met à la disposition des revendeurs plus de 5400 références de matériel et 2600 saveurs d’e-liquides différentes. Son réseau compte plus de 4500 boutiques dans environ 50 pays à travers le monde entier. Vous pouvez y commander des produits haut de gamme en avant-première à des tarifs préférentiels qui vous garantissent des marges intéressantes. Vous bénéficiez d’une livraison express et effectuez vos règlements en ligne de manière sécurisée.
Pour limiter les éventuels risques à long terme de la cigarette électronique, les vapoteurs doivent privilégier des produits de bonne qualité.
La cigarette électronique, la meilleure aide au sevrage du moment
L’OMS a visiblement sous-estimé les bienfaits de la vape chez les fumeurs lorsqu’elle a affirmé dans son rapport que l’e-cigarette « ne devrait pas être promue comme une aide au sevrage ». Cette manifeste erreur de communication frise une désinformation. Cela a d’ailleurs suscité de nombreuses réactions indignées dans le monde scientifique et dans l’univers des vapoteurs. En effet, l’avis de l’agence onusienne tranche avec la position officielle des instances nationales. Depuis 2016, le Haut Conseil de santé publique (HCSP) a estimé que l’e-cigarette représente une aide pour réduire ou pour stopper la consommation de tabac. Santé publique France a évoqué des statistiques satisfaisantes pour rejeter le rapport de l’OMS. Elle rappelle que la cigarette électronique a permis à 700 000 personnes d’arrêter de fumer sur les 7 dernières années. Quant au professeur Gérard de l’Académie nationale de médecine, il a recadré le débat en rappelant à l’OMS que « la cigarette électronique est destinée aux fumeurs, car ils sont en danger, le tabac tue 8 millions de personnes chaque année ».
Le fulgurant succès de l’e-cigarette s’explique également par la diversité des e-liquides disponibles. Chaque utilisateur peut en choisir en fonction de la saveur recherchée. Un vapoteur peut donc varier ses goûts à sa convenance. Cela lui permet de réduire progressivement sa dépendance à la nicotine. Par ailleurs, les e-liquides CBD apparaissent actuellement comme une alternative crédible à la nicotine. Ils vous garantissent des sensations presque identiques à l’exception de l’effet psychoactif à l’origine des délires. La cigarette électronique s’impose donc aujourd’hui comme une véritable aide au sevrage tabagique. Les chiffres le confirment et les fumeurs en témoignent. Pour arrêter définitivement leur dépendance, les fumeurs peuvent opter pour des e-liquides CBD. Les innombrables vertus de cette substance pourrait compenser les risques de maladies cardiovasculaires.
La cigarette électronique, un rempart contre le tabagisme
Dans son baromètre annuel publié en 2019, Santé publique France a estimé que le nombre de fumeurs a diminué de 600 000 en 2018 dans l’Hexagone. Cela fait 600 000 personnes arrachées d’une mort certaine ! Parallèlement, le pays a enregistré 500 000 vapoteurs de plus sur la même période. Ces chiffres témoignent d’un véritable engouement en faveur de la cigarette électronique. Contrairement aux affirmations de l’OMS, l’e-cigarette apparait désormais comme un rempart contre le tabagisme, contre l’alcoolisme et les drogues. Aujourd’hui, la plupart des jeunes fantasment sur leur premier clearomiseur ! Les mégots classiques ne suscitent plus d’engouement chez eux. La vape leur offre tellement de possibilités qu’ils n’ont généralement pas le temps de penser au tabac. Cela représente déjà une petite avancée que l’agence onusienne devrait reconnaître à juste titre. Par ailleurs, de nombreux e-liquides sans nicotine restent disponibles pour un usage récréatif.
La cigarette électronique, l’urgence de contrer la propagande
Le succès enregistré par l’e-cigarette ne doit pas faire perdre de vue les risques liés au vapotage. Des menaces existeraient à long terme selon des scientifiques. Nous devons donc faire preuve de prudence et de responsabilité. L’appât du gain pousse certains lobbies à organiser des campagnes pour convaincre l’opinion publique de l’innocuité totale de la vape. Ils attestent que la cigarette électronique n’impacte aucunement la santé humaine. Ce discours erroné pourrait inciter des jeunes et des non-fumeurs à passer à l’e-cigarette par snobisme. Ils vous jetteront certainement la pierre si la science réussissait un jour à prouver la dangerosité de la vape. Les autorités doivent prendre des mesures pour stopper la publicité liée à la cigarette électronique.
La cigarette électronique, de belles perspectives
Depuis quelques années, le nombre de fumeurs dégringole dans tous les pays du monde entier. Visiblement, la vape a réussi là où toutes les politiques antitabac ont lamentablement échoué. L’OMS doit reconnaître ce mérite à la cigarette électronique en la sacrant comme une véritable aide au sevrage nicotinique. Aujourd’hui, une alternative crédible aux mégots classiques existe. Désormais, nous pouvons rêver d’un monde sans tabac !
Les autorités publiques devraient idéalement prendre des mesures draconiennes pour encadrer la vape. Elles doivent se montrer plus exigeantes sur les substances utilisées. Les scientifiques devraient réfléchir aux stratégies pour perfectionner le dispositif actuel afin d’amoindrir les risques sur le long terme. Cela implique des normes plus strictes et des contrôles renforcés. Le débat ne doit plus se situer au niveau de l’innocuité ou non de la cigarette électronique. Cela ne changera rien au comportement des véritables amateurs de la vape. De nombreux fumeurs enchaînent les clopes en dépit de l’affiche « le tabac nuit gravement à la santé » inscrite sur les paquets.
Les instances sanitaires doivent simplement prendre acte du succès de la cigarette électronique et reconnaître qu’elle constitue une alternative crédible aux mégots classiques. Parallèlement, les autorités publiques doivent financer des recherches pour mieux cerner les effets néfastes à long terme de la vape. La démocratisation des e-liquides CBD représente une piste à explorer pour mieux aider les fumeurs.