Les interventions gynécologiques ou obstétricales peuvent parfois conduire à des complications au niveau de l’appareil urinaire chez la femme. Celles-ci s’expliquent surtout par les rapports étroits qui lient l’appareil génital et le système urinaire. Découvrez ici les complications qui peuvent survenir après une telle intervention chez la femme et les solutions médicales existantes destinées à réduire davantage les risques.
Interventions gynécologiques et complications urologiques : quel lien ?
La chirurgie gynécologique regroupe l’ensemble des interventions chirurgicales touchant les organes génitaux de la femme, en l’occurrence la vulve, le vagin et l’utérus. Il s’agit entre autres de :
- la chirurgie des kystes de l’ovaire;
- la chirurgie des fuites urinaires ;
- l’hystéroscopie ;
- la césarienne et bien d’autres.
Ces diverses opérations engendrent parfois des complications au niveau de l’appareil urinaire : les complications urologiques.
Ceci dit, il existe aujourd’hui de nombreuses solutions, comme celles de Peters Surgical, qui sont très efficaces à adopter.
La chirurgie gynécologique : quelles sont les complications ?
Généralement, les cas de complications urologiques peuvent revêtir la forme de lésions urétérales iatrogènes ou des perturbations enregistrées au niveau du système urinaire.
Les lésions de l’uretère
Au nombre des complications qu’on peut retrouver après une intervention gynécologique figurent les lésions de l’uretère. Ces dernières sont le plus souvent méconnues en phase peropératoire. Elles peuvent être à l’origine d’une morbidité importante pour le patient lorsqu’elles sont diagnostiquées tardivement ou lorsqu’elles sont très sévères.
Les fistules obstétricales
Les fistules sont des cas de complications enregistrés le plus souvent dans les pays en voie de développement. Il s’agit d’une communication anormale entre soit le vagin et le rectum (fistule recto-vaginale), la vessie et le rectum (fistule vésico-rectale) ou le vagin et la vessie (fistule vésico-vaginale).
Ce sont les fistules vésico-vaginales qui surviennent surtout après la césarienne. On note également les fistules urétéro-génitales qui surviennent suite à des ligatures urétérales, le plus souvent après une hystérectomie.
Quelles solutions pour réduire les risques de complications ?
Vu le degré de sensibilité des opérations gynécologiques, il faut un certain degré de professionnalisme pour mener de telles interventions. Le défaut de médicalisation compte aussi énormément dans la survenue des complications enregistrées. Il faut donc privilégier l’amélioration de l’outillage médical avec des matériels de qualité dans les centres hospitaliers.
Face à cela, des entreprises spécialisées dans l’industrie chirurgicale comme Peters Surgical conçoivent désormais des solutions chirurgicales de pointe et hautement fiables pour optimiser la qualité des soins. Elles accompagnent les professionnels de santé dans leurs pratiques quotidiennes.
Concrètement, cela fait plus de vingt ans que les équipes R&D de Peters Surgical travaillent avec les chirurgiens afin de les aider dans les procédures d’urogynécologie. La capacité d’innovation et la vision technologique de ces deux parties ont conduit au développement de nombreux produits brevetés, utilisés quotidiennement en chirurgie urogynécologique.
Au vu de la pratique chirurgicale étant en constante évolution, Peters Surgical développe une gamme de matériels et d’outils exclusivement dédiés à la chirurgie gynécologique. Retrouvez parmi ces outils : des manipulateurs utérins, des implants et suspenseurs d’organes, de la colle chirurgicale et de l’instrumentation mini-invasive comme des trocarts, de l’instrumentation mono/bipolaire, etc.
Ces divers dispositifs de pointe constituent un facteur important à la réduction des risques de complications urologiques suite aux opérations de chirurgie gynécologique.